par Epistème » 25 mai 2017, 17:05
Le concept de développement personnel présente de nombreux aspects. Il est utilisé dans la psychanalyse, le coaching, l'organisation du travail, aussi bien que présenté comme un ensemble d'exercices visant à développer certaines aptitudes, telles que la confiance en soi, une attitude constructive, l'autohypnose, le pouvoir de diriger sa vie, la manière de se faire aimer, la réalisation de nos aspirations ; bref, est concerné tout ce qui est supposé améliorer notre qualité de vie.
Il est très présent dans les spiritualités, sans toutefois que ce terme ne soit utilisé. L'atteinte du bonheur et de la sagesse passe par une évolution de la conscience, laquelle est induite par une pratique assidue de la méditation. Les religions organisées affirment de leur côté que croire en Dieu et observer ses enseignements (ou ceux du Bouddha dans le bouddhisme tibétain) permet d'accéder au paradis, sinon dans cette vie du moins après la mort. Dans ce cas, les pratiques visant à améliorer les conditions de vie du croyant sont la prière et l'observance des rites.
Le sens attribué au concept de développement personnel peut varier d'une culture ou d'un pays à l'autre. Il est ainsi mal perçu par les autorités françaises, qui l'associent à une certaine forme de manipulation mentale, voire à un lavage de cerveau pur et simple. L'essor des sectes, souvent fondées par des gourous autoproclamés dont les visées réelles ne sont pas toujours explicites, ni même avouables, n'y est pas étranger.
Quelle que soit forme la forme qu'il prend, le développement personnel vise toujours la transformation de soi. Il est supposé mettre fin aux multiples troubles dont nous souffrons et faire ainsi de nous les êtres que nous ne sommes pas, tels du plomb changé en or. Cette transformation représente l'idée centrale dans les spiritualités dites "sans religion" ou "sans Dieu", et il faut bien admettre que s'il est possible d'assouvir le besoin de se réinventer de très nombreuses manières, toutes sont liées, de près ou de loin, à l'idée que chacun se fait de lui-même, et donc à la conscience elle-même.
Le concept de développement personnel présente de nombreux aspects. Il est utilisé dans la psychanalyse, le coaching, l'organisation du travail, aussi bien que présenté comme un ensemble d'exercices visant à développer certaines aptitudes, telles que la confiance en soi, une attitude constructive, l'autohypnose, le pouvoir de diriger sa vie, la manière de se faire aimer, la réalisation de nos aspirations ; bref, est concerné tout ce qui est supposé améliorer notre qualité de vie.
Il est très présent dans les spiritualités, sans toutefois que ce terme ne soit utilisé. L'atteinte du bonheur et de la sagesse passe par une évolution de la conscience, laquelle est induite par une pratique assidue de la méditation. Les religions organisées affirment de leur côté que croire en Dieu et observer ses enseignements (ou ceux du Bouddha dans le bouddhisme tibétain) permet d'accéder au paradis, sinon dans cette vie du moins après la mort. Dans ce cas, les pratiques visant à améliorer les conditions de vie du croyant sont la prière et l'observance des rites.
Le sens attribué au concept de développement personnel peut varier d'une culture ou d'un pays à l'autre. Il est ainsi mal perçu par les autorités françaises, qui l'associent à une certaine forme de manipulation mentale, voire à un lavage de cerveau pur et simple. L'essor des sectes, souvent fondées par des gourous autoproclamés dont les visées réelles ne sont pas toujours explicites, ni même avouables, n'y est pas étranger.
Quelle que soit forme la forme qu'il prend, le développement personnel vise toujours la transformation de soi. Il est supposé mettre fin aux multiples troubles dont nous souffrons et faire ainsi de nous les êtres que nous ne sommes pas, tels du plomb changé en or. Cette transformation représente l'idée centrale dans les spiritualités dites "sans religion" ou "sans Dieu", et il faut bien admettre que s'il est possible d'assouvir le besoin de se réinventer de très nombreuses manières, toutes sont liées, de près ou de loin, à l'idée que chacun se fait de lui-même, et donc à la conscience elle-même.