par Epistème » 01 juin 2024, 12:43
Je ne vais pas m'étendre sur la personne et les travaux de Jean-Pierre Petit, dont la plupart des gens ont au moins entendu parler. Physicien et ancien directeur de recherche au CNRS, il est connu pour ses contributions en hydrodynamique et magnétohydrodynamique (MHD), ainsi que pour ses théories controversées en cosmologie et astrophysique. Sa théorie cosmologique Janus, extension de la relativité générale d'Einstein, propose l'existence de deux univers jumeaux, symétriques en matière et antimatière, interagissant gravitationnellement avec des flèches du temps opposées. Ce modèle expliquerait certains phénomènes cosmologiques sans recourir à l'énergie sombre ou à la matière noire, sur lesquelles s'appuie le modèle standard de la cosmologie alors que leur existence n'a jamais été démontrée.
Le modèle Janus a été largement rejeté par la communauté scientifique, pour plusieurs raisons :
- Manque de preuves expérimentales : aucune donnée astrophysique ne confirme les prédictions de Petit.
- Problèmes théoriques : incohérences avec la relativité générale et la mécanique quantique.
- Méthodologie scientifique : critiques sur la publication dans des revues peu reconnues, et contournement du processus de revue par les pairs.
- Conflits avec les modèles établis : le modèle standard de la cosmologie reste dominant pour expliquer de nombreux phénomènes.
Dans
cette conférence, Jean-Pierre Petit évoque son ressentiment envers la science officielle pour lui avoir fermé sa porte.
Janus constitue un exemple significatif de la manière dont la science tente d'appréhender le réel. La méthode scientifique consiste à établir des énoncés universels à partir de cas singuliers, en passant par des phases d'observation, de questionnement et d’expérimentation. Dans le domaine de la cosmologie comme dans d'autres, notamment la physique et l'ingénierie, l'élaboration d'un modèle mathématique est de plus indispensable puisqu'il permet de faire des prédictions précises et de tester des hypothèses avec rigueur. Souvent, les sciences utilisent également des simulations et des modèles computationnels qui ne se traduisent pas toujours en équations mathématiques classiques mais plutôt en code informatique complexe.
Disposer du savoir nécessaire à décrire, prédire, analyser, tester et simuler les phénomènes et les structures de l'univers, rend-il possible la compréhension profonde de celui-ci ? Si oui, alors nous devons conclure que seuls des scientifiques de très haut niveau, somme toute peu nombreux, sont capables d'accéder à cette connaissance. Est-ce vraiment le cas ?
Il y a sept ans, dans le premier message de ce fil, je tentais de comprendre la différence entre
connaissance et
Connaissance. La première, avec un 'c' minuscule, désigne le savoir que l'on acquiert à travers l'expérience, l'apprentissage et l'étude. Elle comprend les faits, les informations, les compétences et les compréhensions spécifiques que l'on peut obtenir dans divers domaines de la vie et des sciences. Cette forme de connaissance est souvent empirique et
doit être validée par des preuves et des observations, ce qui signifie qu'elle peut être invalidée – ou au contraire améliorée et raffinée – à tout moment. L'essence de la
connaissance réside dans sa capacité à s'adapter et à évoluer avec les nouvelles découvertes. Elle est une toile vivante où chaque coup de pinceau ajoute une nuance, une forme, une dimension à notre perception de la réalité. D'un autre côté, son éphémérité peut susciter une certaine frustration, car elle souligne que notre savoir est en perpétuelle construction et jamais définitif. Nous n'avons en fait aucune certitude ; le monde nous effraie toujours autant, quoi que nous découvrions, imaginions et créions. Le modèle Janus n'échappe pas à cette fatalité. Que l'on y croie ou non ne change rien, notre compréhension du monde restera provisoire et nous le savons.
Au commencement était la Source, une énergie colossale, éternelle et infinie, créatrice des univers. On a peine à imaginer qu'elle même n'ait jamais été conçue, qu'elle ne soit jamais née. Si elle était faite de pâte à modeler nous dirions que toute chose, de la plus vaste galaxie à la plus infime bactérie en passant par toutes les créatures qui peuplent les univers, est pétrie de cette pâte et qu'à sa création le sens de l'individualité et le libre arbitre lui furent insufflés. Puisque la Source est la Conscience et l'Intelligence suprêmes, nous sommes conscients et intelligents. Dieu ne nous a pas créés à Son image ; en réalité nous
faisons partie de la Source ; tout est la Source, il n'existe rien d'autre dans toute la Création. Comment pourrait-il en être autrement ?
Malheureusement, notre perception limitée et notre cosmologie purement matérialiste nous empêchent de saisir cette vérité fondamentale. Enfermés dans notre compréhension approximative des phénomènes physiques et des lois de la matière, nous avons érigé des barrières conceptuelles qui nous éloignent de la Réalité ultime. Nous nous sommes tellement concentrés sur l'exploration de l'univers visible, sur la quête des particules élémentaires et des forces qui régissent le cosmos, que nous avons négligé l'existence d'une dimension sous-jacente, immatérielle et infiniment plus vaste.
Cette Réalité sous-jacente, que certains appellent le champ quantique, le vide créateur ou encore la trame de l'existence, est le fondement même de tout ce qui est
1. Elle échappe à nos instruments de mesure et à nos théories scientifiques actuelles, car elle transcende la matière et l'énergie que nous pouvons observer et quantifier. Pourtant, elle n'est pas au-delà de notre portée. Pour la comprendre nous devons dépasser les limites de la science matérialiste et ouvrir notre conscience à d'autres modes de connaissance, à l'intuition, à la méditation, et à l'expérience intérieure.
Il est impératif que nous élargissions notre champ de vision et reconnaissions que notre conception actuelle de l'univers ne concerne qu'une infime fraction d'un tout infiniment plus complexe et mystérieux. C'est seulement en intégrant cette perspective plus vaste que nous pourrons véritablement évoluer dans notre compréhension de la Réalité. Nous devons admettre que nous ne sommes pas seulement des observateurs extérieurs de l'univers, mais des participants actifs et intrinsèquement liés à la Source. C'est ce que les civilisations extraterrestres avec lesquelles nous entrons épisodiquement en contact tentent de nous faire comprendre. En vain, parce que notre matérialisme forcené et la certitude qui est la nôtre de pouvoir comprendre le monde à l'aide de nos seules capacités intellectuelles, freinent considérablement notre progrès scientifique et philosophique.
En explorant cette dimension immatérielle nous pourrions découvrir des lois encore insoupçonnées, des principes régissant l'harmonie et l'équilibre du monde. Nous réaliserions que la séparation entre matière et esprit n'est qu'une illusion désastreuse ; que chaque atome, chaque être vivant, est une expression unique de la Source, et qu'il existe une infinité de façons dont l'énergie primordiale peut s'organiser pour produire les formes les plus variées. En percevant cette vérité, nous comprendrions que l'univers n'est pas un assemblage de composants séparés, livrés potentiellement au hasard et au chaos, mais un tissu continu d'énergie consciente en perpétuelle et intelligente transformation. Mais surtout, nous découvririons que notre véritable nature est bien plus profonde et exaltante que celle à laquelle nous nous accrochons, aussi calamiteuse puisse-t-elle être.
En abandonnant notre cosmologie matérialiste et en embrassant une vision holistique de la Réalité, nous serons capables de faire un saut quantique dans notre évolution. Nous découvrirons que la clé de l'univers réside non pas dans les galaxies lointaines et les particules subatomiques, mais dans la profondeur de notre propre conscience, de laquelle la Source ne s'est jamais absentée. La levée du voile qui la couvre à nos yeux, conséquence de notre mode de vie détraqué ainsi que des croyances et préjugés innombrables qui gouvernent notre vie, est ce qu'on nomme l’Éveil spirituel : la redécouverte de notre véritable nature, après des millénaires d'oubli et d'errance. C'est ce qu'on nomme également la
Connaissance, qui une fois obtenue nous dispense de devoir réfléchir sur le monde et de faire des mathématiques, puisque nous devenons omniscients, un attribut incontestable de la Source. Ceci n'empêche absolument pas que nous consacrions ensuite nos efforts à l'élaboration d'une science et d'une technologie capables de nous offrir la maîtrise de notre environnement matériel et du voyage intergalactique, entre autres développements prodigieux.
Contrairement à une opinion très répandue dans les milieux scientifiques, science et spiritualité ne sont pas antinomiques l'une de l'autre. Au contraire, la seconde est nécessaire au développement de la première, ce qu'elle permet de découvrir étant invisible à nos microscopes et à nos télescopes, et surtout inimaginable, hors de portée de l'intellect. Le mot spiritualité est mal interprété : il ne nécessite pas l'adhésion à une structure organisée et institutionnalisée qui regroupe des croyances, des doctrines, des rituels et des pratiques partagées par une communauté de fidèles, mais représente une dimension de l'expérience humaine qui implique la connexion à une réalité supérieure et immatérielle, innomée. L'atteinte de cette réalité n'est pas la conclusion d'un cheminement linéaire ou d'un apprentissage graduel, tel un cursus universitaire. Elle ne se dévoile pas au terme d'un processus balisé mais se révèle à nous lorsque nous sommes prêts à la recevoir, dans un moment de grâce et d'ouverture intérieure. Il s'agit seulement de lever le voile qui nous empêche de voir.
1. La Réalité sous-jacente et le vide quantique peuvent être vus comme deux façons de parler d'une même dimension fondamentale. Le vide quantique est un concept scientifique qui révèle une réalité invisible, pleine de potentiel et d'énergie, tandis que la Réalité sous-jacente est une notion plus philosophique et spirituelle qui suggère que tout ce qui existe émerge d'une source unifiée et profonde. Les deux notions convergent vers l'idée que l'univers matériel est soutenu par un substrat fondamental invisible et immensément puissant.
[imgleft]https://consyance.fr/documents/JPPetit.png[/imgleft]Je ne vais pas m'étendre sur la personne et les travaux de Jean-Pierre Petit, dont la plupart des gens ont au moins entendu parler. Physicien et ancien directeur de recherche au CNRS, il est connu pour ses contributions en hydrodynamique et magnétohydrodynamique (MHD), ainsi que pour ses théories controversées en cosmologie et astrophysique. Sa théorie cosmologique Janus, extension de la relativité générale d'Einstein, propose l'existence de deux univers jumeaux, symétriques en matière et antimatière, interagissant gravitationnellement avec des flèches du temps opposées. Ce modèle expliquerait certains phénomènes cosmologiques sans recourir à l'énergie sombre ou à la matière noire, sur lesquelles s'appuie le modèle standard de la cosmologie alors que leur existence n'a jamais été démontrée.
Le modèle Janus a été largement rejeté par la communauté scientifique, pour plusieurs raisons :
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[*]Manque de preuves expérimentales : aucune donnée astrophysique ne confirme les prédictions de Petit.
[*]Problèmes théoriques : incohérences avec la relativité générale et la mécanique quantique.
[*]Méthodologie scientifique : critiques sur la publication dans des revues peu reconnues, et contournement du processus de revue par les pairs.
[*]Conflits avec les modèles établis : le modèle standard de la cosmologie reste dominant pour expliquer de nombreux phénomènes.
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Dans [url=https://www.youtube.com/watch?v=xCgvmunzftc]cette conférence[/url], Jean-Pierre Petit évoque son ressentiment envers la science officielle pour lui avoir fermé sa porte.
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Janus constitue un exemple significatif de la manière dont la science tente d'appréhender le réel. La méthode scientifique consiste à établir des énoncés universels à partir de cas singuliers, en passant par des phases d'observation, de questionnement et d’expérimentation. Dans le domaine de la cosmologie comme dans d'autres, notamment la physique et l'ingénierie, l'élaboration d'un modèle mathématique est de plus indispensable puisqu'il permet de faire des prédictions précises et de tester des hypothèses avec rigueur. Souvent, les sciences utilisent également des simulations et des modèles computationnels qui ne se traduisent pas toujours en équations mathématiques classiques mais plutôt en code informatique complexe.
Disposer du savoir nécessaire à décrire, prédire, analyser, tester et simuler les phénomènes et les structures de l'univers, rend-il possible la compréhension profonde de celui-ci ? Si oui, alors nous devons conclure que seuls des scientifiques de très haut niveau, somme toute peu nombreux, sont capables d'accéder à cette connaissance. Est-ce vraiment le cas ?
Il y a sept ans, dans le premier message de ce fil, je tentais de comprendre la différence entre [i]connaissance[/i] et [i]Connaissance[/i]. La première, avec un 'c' minuscule, désigne le savoir que l'on acquiert à travers l'expérience, l'apprentissage et l'étude. Elle comprend les faits, les informations, les compétences et les compréhensions spécifiques que l'on peut obtenir dans divers domaines de la vie et des sciences. Cette forme de connaissance est souvent empirique et [i]doit être validée[/i] par des preuves et des observations, ce qui signifie qu'elle peut être invalidée – ou au contraire améliorée et raffinée – à tout moment. L'essence de la [i]connaissance[/i] réside dans sa capacité à s'adapter et à évoluer avec les nouvelles découvertes. Elle est une toile vivante où chaque coup de pinceau ajoute une nuance, une forme, une dimension à notre perception de la réalité. D'un autre côté, son éphémérité peut susciter une certaine frustration, car elle souligne que notre savoir est en perpétuelle construction et jamais définitif. Nous n'avons en fait aucune certitude ; le monde nous effraie toujours autant, quoi que nous découvrions, imaginions et créions. Le modèle Janus n'échappe pas à cette fatalité. Que l'on y croie ou non ne change rien, notre compréhension du monde restera provisoire et nous le savons.
Au commencement était la Source, une énergie colossale, éternelle et infinie, créatrice des univers. On a peine à imaginer qu'elle même n'ait jamais été conçue, qu'elle ne soit jamais née. Si elle était faite de pâte à modeler nous dirions que toute chose, de la plus vaste galaxie à la plus infime bactérie en passant par toutes les créatures qui peuplent les univers, est pétrie de cette pâte et qu'à sa création le sens de l'individualité et le libre arbitre lui furent insufflés. Puisque la Source est la Conscience et l'Intelligence suprêmes, nous sommes conscients et intelligents. Dieu ne nous a pas créés à Son image ; en réalité nous [ref]faisons partie[/ref] de la Source ; tout est la Source, il n'existe rien d'autre dans toute la Création. Comment pourrait-il en être autrement ?
Malheureusement, notre perception limitée et notre cosmologie purement matérialiste nous empêchent de saisir cette vérité fondamentale. Enfermés dans notre compréhension approximative des phénomènes physiques et des lois de la matière, nous avons érigé des barrières conceptuelles qui nous éloignent de la Réalité ultime. Nous nous sommes tellement concentrés sur l'exploration de l'univers visible, sur la quête des particules élémentaires et des forces qui régissent le cosmos, que nous avons négligé l'existence d'une dimension sous-jacente, immatérielle et infiniment plus vaste.
Cette Réalité sous-jacente, que certains appellent le champ quantique, le vide créateur ou encore la trame de l'existence, est le fondement même de tout ce qui est[color=#FF0000][sup][ref]1[/ref][/sup][/color]. Elle échappe à nos instruments de mesure et à nos théories scientifiques actuelles, car elle transcende la matière et l'énergie que nous pouvons observer et quantifier. Pourtant, elle n'est pas au-delà de notre portée. Pour la comprendre nous devons dépasser les limites de la science matérialiste et ouvrir notre conscience à d'autres modes de connaissance, à l'intuition, à la méditation, et à l'expérience intérieure.
Il est impératif que nous élargissions notre champ de vision et reconnaissions que notre conception actuelle de l'univers ne concerne qu'une infime fraction d'un tout infiniment plus complexe et mystérieux. C'est seulement en intégrant cette perspective plus vaste que nous pourrons véritablement évoluer dans notre compréhension de la Réalité. Nous devons admettre que nous ne sommes pas seulement des observateurs extérieurs de l'univers, mais des participants actifs et intrinsèquement liés à la Source. C'est ce que les civilisations extraterrestres avec lesquelles nous entrons épisodiquement en contact tentent de nous faire comprendre. En vain, parce que notre matérialisme forcené et la certitude qui est la nôtre de pouvoir comprendre le monde à l'aide de nos seules capacités intellectuelles, freinent considérablement notre progrès scientifique et philosophique.
En explorant cette dimension immatérielle nous pourrions découvrir des lois encore insoupçonnées, des principes régissant l'harmonie et l'équilibre du monde. Nous réaliserions que la séparation entre matière et esprit n'est qu'une illusion désastreuse ; que chaque atome, chaque être vivant, est une expression unique de la Source, et qu'il existe une infinité de façons dont l'énergie primordiale peut s'organiser pour produire les formes les plus variées. En percevant cette vérité, nous comprendrions que l'univers n'est pas un assemblage de composants séparés, livrés potentiellement au hasard et au chaos, mais un tissu continu d'énergie consciente en perpétuelle et intelligente transformation. Mais surtout, nous découvririons que notre véritable nature est bien plus profonde et exaltante que celle à laquelle nous nous accrochons, aussi calamiteuse puisse-t-elle être.
En abandonnant notre cosmologie matérialiste et en embrassant une vision holistique de la Réalité, nous serons capables de faire un saut quantique dans notre évolution. Nous découvrirons que la clé de l'univers réside non pas dans les galaxies lointaines et les particules subatomiques, mais dans la profondeur de notre propre conscience, de laquelle la Source ne s'est jamais absentée. La levée du voile qui la couvre à nos yeux, conséquence de notre mode de vie détraqué ainsi que des croyances et préjugés innombrables qui gouvernent notre vie, est ce qu'on nomme l’Éveil spirituel : la redécouverte de notre véritable nature, après des millénaires d'oubli et d'errance. C'est ce qu'on nomme également la [i]Connaissance[/i], qui une fois obtenue nous dispense de devoir réfléchir sur le monde et de faire des mathématiques, puisque nous devenons omniscients, un attribut incontestable de la Source. Ceci n'empêche absolument pas que nous consacrions ensuite nos efforts à l'élaboration d'une science et d'une technologie capables de nous offrir la maîtrise de notre environnement matériel et du voyage intergalactique, entre autres développements prodigieux.
Contrairement à une opinion très répandue dans les milieux scientifiques, science et spiritualité ne sont pas antinomiques l'une de l'autre. Au contraire, la seconde est nécessaire au développement de la première, ce qu'elle permet de découvrir étant invisible à nos microscopes et à nos télescopes, et surtout inimaginable, hors de portée de l'intellect. Le mot spiritualité est mal interprété : il ne nécessite pas l'adhésion à une structure organisée et institutionnalisée qui regroupe des croyances, des doctrines, des rituels et des pratiques partagées par une communauté de fidèles, mais représente une dimension de l'expérience humaine qui implique la connexion à une réalité supérieure et immatérielle, innomée. L'atteinte de cette réalité n'est pas la conclusion d'un cheminement linéaire ou d'un apprentissage graduel, tel un cursus universitaire. Elle ne se dévoile pas au terme d'un processus balisé mais se révèle à nous lorsque nous sommes prêts à la recevoir, dans un moment de grâce et d'ouverture intérieure. Il s'agit seulement de lever le voile qui nous empêche de voir.
[size=85][ref]1[/ref]. La Réalité sous-jacente et le vide quantique peuvent être vus comme deux façons de parler d'une même dimension fondamentale. Le vide quantique est un concept scientifique qui révèle une réalité invisible, pleine de potentiel et d'énergie, tandis que la Réalité sous-jacente est une notion plus philosophique et spirituelle qui suggère que tout ce qui existe émerge d'une source unifiée et profonde. Les deux notions convergent vers l'idée que l'univers matériel est soutenu par un substrat fondamental invisible et immensément puissant.[/size]