Discours de la servitude volontaire

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#1

19 juil. 2021, 02:31

J'avais toujours évité, depuis le début de la "pandémie", d'aborder ce sujet. Mais les évènements récents me poussent à le faire.

Ce livre de La Boétie, considéré depuis longtemps par l'Occident comme ne le concernant plus, retrouve aujourd'hui toute son actualité. Le discours d'Emmanuel Macron le soir du 12 juillet 2021, qui a plongé le peuple de France dans une profonde stupeur, semble avoir sonné le glas des idéaux de la Révolution. Il aura fallu plus de deux siècles à l'Ancien Régime pour se relever et afficher de nouveau sa face hideuse et la corruption de ses élites.

Placez un malade mental à la tête de l’État, accordez-lui tous les pouvoirs, laissez-le s'entourer de courtisans dont l'engagement en politique est uniquement dicté par l'intérêt personnel et non par une quelconque aspiration à servir le pays, de forces de l'ordre (ou une partie) d'une incroyable brutalité, entièrement dévouées à servir le malade au détriment de leurs concitoyens, et vous obtenez un autocrate qui tôt ou tard, devenu ivre de sa puissance, lèvera toutes les entraves légales et morales à l'instauration d'une tyrannie, sans que jamais les prétendus contre-pouvoirs, entrés également à son service, ne lèvent le petit doigt.

La question posée par La Boétie était de savoir pourquoi le peuple se soumet aux lois liberticides d'un tyran, pourquoi il se résigne à l'arbitraire au point de le considérer comme une forme acceptable de gouvernement. Je reproduis ici quelques extraits des trois premières pages de son livre.

Je voudrais seulement comprendre comment il se peut que tant d’hommes, tant de bourgs, tant de villes, tant de nations supportent quelquefois un tyran seul qui n’a de puissance que celle qu’ils lui donnent, qui n’a pouvoir de leur nuire qu’autant qu’ils veulent bien l’endurer, et qui ne pourrait leur faire aucun mal s’ils n’aimaient mieux tout souffrir de lui que de le contredire. Chose vraiment étonnante – et pourtant si commune qu’il faut plutôt en gémir que s’en ébahir –, de voir un million d’hommes misérablement asservis, la tête sous le joug, non qu’ils y soient contraints par une force majeure, mais parce qu’ils sont fascinés et pour ainsi dire ensorcelés par le seul nom d’un, qu’ils ne devraient pas redouter – puisqu’il est seul – ni aimer – puisqu’il est envers eux tous inhumain et cruel.

Quel est ce vice, ce vice horrible, de voir un nombre infini d’hommes, non seulement obéir, mais servir, non pas être gouvernés, mais être tyrannisés, n’ayant ni biens, ni parents, ni enfants, ni leur vie même qui soient à eux ? De les voir souffrir les rapines, les paillardises, les cruautés, non d’une armée, non d’un camp barbare contre lesquels chacun devrait défendre son sang et sa vie, mais d’un seul ! Non d’un Hercule ou d’un Samson, mais d’un hommelet souvent le plus lâche, le plus efféminé de la nation, qui n’a jamais flairé la poudre des batailles [mais très certainement d'autres poudres] ni guère foulé le sable des tournois, qui n’est pas seulement inapte à commander aux hommes, mais encore à satisfaire la moindre femmelette ! Nommerons-nous cela lâcheté ? Appellerons-nous vils et couards ces hommes soumis ? Si deux, si trois, si quatre cèdent à un seul, c’est étrange, mais toutefois possible ; on pourrait peut-être dire avec raison : c’est faute de courage. Mais si cent, si mille souffrent l’oppression d’un seul, dira-t-on encore qu’ils n’osent pas s’en prendre à lui, ou qu’ils ne le veulent pas, et que ce n’est pas couardise mais plutôt mépris ou dédain ?

Enfin, si l’on voit non pas cent, non pas mille hommes, mais cent pays, mille villes, un million d’hommes ne pas assaillir celui qui les traite tous comme autant de serfs et d’esclaves, comment qualifierons-nous cela ? Est-ce lâcheté ? Mais tous les vices ont des bornes qu’ils ne peuvent pas dépasser. Deux hommes, et même dix, peuvent bien en craindre un ; mais que mille, un million, mille villes ne se défendent pas contre un seul homme, cela n’est pas couardise : elle ne va pas jusque-là, de même que la vaillance n’exige pas d’un seul homme qu'il escalade une forteresse, attaque une armée, conquière un royaume. Quel vice monstrueux est donc celui-ci, qui ne mérite pas même le titre de couardise, qui ne trouve pas de nom assez laid, que la nature désavoue et que la langue refuse de nommer ?

Ils sont vraiment extraordinaires, les récits de la vaillance que la liberté met au coeur de ceux qui la défendent ! Mais ce qui arrive, partout et tous les jours : qu’un homme seul en opprime cent mille et les prive de leur liberté, qui pourrait le croire s’il ne faisait que l’entendre et non le voir ? Et si cela n’arrivait que dans des pays étrangers, des terres lointaines et qu’on vînt nous le raconter, qui ne croirait ce récit purement inventé ?

Or ce tyran seul, il n’est pas besoin de le combattre, ni de l’abattre. Il est défait de lui-même, pourvu que le pays ne consente point à sa servitude. Il ne s’agit pas de lui ôter quelque chose, mais de ne rien lui donner.

Étienne de La Boétie (1530 - 1563) : Discours de la servitude volontaire

Ce ne rien lui donner du seizième siècle pourrait se traduire aujourd'hui par boycotter. Boycottons Big Tech pour la censure qu'il exerce sur notre liberté d'expression, les médias qui nous mentent à longueur de journal d'information, les établissements privés et lieux publics qui nous demandent de montrer patte blanche avant de nous accepter. Boycottons tout ce qui peut l'être, même si pour cela nous devons nous priver et nous faire violence. C'est le plus grand des pouvoirs et il est en notre possession. Utilisons-le, cessons de donner quoi que ce soit au tyran et à la multitude d'êtres malfaisants avec lesquels il s'est acoquiné pour notre malheur. Devenons les maîtres de nos destinées.

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#2

26 juil. 2021, 12:31

Après la seconde guerre mondiale, qui vit quelques médecins nazis pratiquer des expériences atroces sur les prisonniers entassés dans les camps de concentration, un procès se déroula à Nuremberg, de décembre 1946 à août 1947, au cours duquel ces médecins furent jugés. D'après une survivante des camps de la mort, "les expériences médicales les plus dangereuses consistaient à inoculer des virus, des maladies et des drogues". Le jugement incluait dix critères précisant les conditions dans lesquelles les expérimentations sur l'être humain doivent être conduites pour être considérées comme acceptables. Ils forment les dix articles du Code de Nuremberg. Voici le premier :
Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de capacité légale totale pour consentir: qu'elle doit être laissée libre de décider, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes de contraintes ou de coercition. Il faut aussi qu'elle soit suffisamment renseignée, et connaisse toute la portée de l'expérience pratiquée sur elle, afin d'être capable de mesurer l'effet de sa décision.

Avant que le sujet expérimental accepte, il faut donc le renseigner exactement sur la nature, la durée, et le but de l’expérience, ainsi que sur les méthodes et moyens employés, les dangers et les risques encourus; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui peuvent résulter de sa participation à cette expérience.

L'obligation et la responsabilité d'apprécier les conditions dans lesquelles le sujet donne son consentement incombent à la personne qui prend l'initiative et la direction de ces expériences ou qui y travaille. Cette obligation et cette responsabilité s'attachent à cette personne, qui ne peut les transmettre à nulle autre sans être poursuivie.
L'article 1 du Code de Nuremberg est massivement violé par la campagne de vaccination anti-covid. Est-il besoin de rappeler que la conception d'un vaccin prend entre 10 et 15 ans et qu'il est testé sur un nombre restreint de volontaires parfaitement informés des risques, rémunérés pour cela, et entourés d'une équipe de professionnels prête à intervenir ? Dans le cas du vaccin contre la covid-19, dont le développement n'a pris que quelques mois, nous sommes en présence d'une expérimentation sur l'être humain à l'échelle planétaire. Le patient ne peut en aucun cas être renseigné sur la composition du produit qu'on lui injecte puisque seul le fabricant la connaît ; les conséquences sur sa santé lui sont inconnues puisque les effets secondaires les plus graves (décès, myocardite, embolie pulmonaire, AVC, hémorragie, thrombose, paralysie, cécité, et beaucoup d'autres) sont cachés au grand public (les chiffres sont pourtant disponibles, bien que sous-estimés1) ; des éléments de coercition sont utilisés pour forcer les gens à se faire vacciner ; la durée de l'expérimentation n'est pas connue puisqu'il se pourrait qu'un "rappel" soit nécessaire tous les 3 à 6 mois ; l'objectif affiché – la protection des individus – est mensonger puisqu'il est aujourd'hui établi que l'immunité naturelle protège beaucoup mieux que les vaccins contre les variants présents et futurs, et que de plus, divers médicaments tels que l'Hydroxychloroquine et l'Ivermectine, utilisés dès les premiers symptômes, permettent d'enrayer la maladie. Chacun garde en mémoire que les autorités ont pourtant très tôt interdit leur prescription, ce qui en dit long sur leurs intentions réelles.

Il est question depuis plusieurs mois d'un Nuremberg 2 pour juger les criminels à l'origine de cette fausse pandémie (ce n'est pas une négation de la maladie elle-même) dont la finalité a depuis le début été la présente campagne de vaccination. Les charges qui pèsent contre eux pourraient s'aggraver selon les conséquences à moyen et long terme constatées chez les personnes vaccinées, qu'il est impossible aujourd'hui de prévoir faute d'une étude sérieuse au cours du processus de fabrication. Chacun, lorsqu'il se fait vacciner, joue à la roulette russe avec sa santé, son intégrité physique et sa vie. Les autorités politiques et sanitaires le savent, c'est pourquoi elles devront être punies avec une extrême sévérité.

Il est effarant de constater que les dispositions prises en 1947 par la communauté internationale en vue d'éviter que les crimes nazis ne se reproduisent, sont aujourd'hui reléguées aux oubliettes et n'ont plus de valeur légale, l'obligation vaccinale en étant la démonstration ultime. Voir à ce sujet : les survivants de l'holocauste exigent l'arrêt de la vaccination. Dans la même veine, voir également "retour en 1938".

1. D'après une étude indépendante, le nombre réel d'effets secondaires indésirables correspondrait au chiffre officiel multiplié par 41.

L'article 2 du Code de Nuremberg va à l'encontre de l'interdiction de prescription de l'Hydroxychloroquine et de l'Ivermectine, ou de la tentative de la contrarier en laissant croire qu'elle est inefficace : "L’expérience doit être telle qu’elle produise des résultats avantageux pour le bien de la société, impossibles à obtenir par d’autres méthodes ou moyens d’étude, et pas aléatoires ou superflus par nature".

L'article 5 interdit ce qui est précisément en train de se passer : "Aucune expérience ne doit être conduite lorsqu’il y a une raison a priori de croire que la mort ou des blessures invalidantes surviendront". Les autorités sanitaires pensent s'en sortir en prétendant qu'il est impossible d'établir le lien entre la vaccination et le décès qui la suit de près, particulièrement chez des personnes jeunes et en parfaite santé.

Article 7 : "Les dispositions doivent être prises et les moyens fournis pour protéger le sujet d’expérience contre les éventualités, même ténues, de blessure, infirmité ou décès". Il n'est tenu aucun compte de cette recommandation, on vaccine tout le monde sans discernement et en parfaite connaissance des risques (que seul le patient ignore).

Et bien sûr, l'article 8 est piétiné : "Les expériences ne doivent être pratiquées que par des personnes scientifiquement qualifiées. Le plus haut degré de compétence professionnelle doit être exigé tout au long de l’expérience, de tous ceux qui la dirigent ou y participent". Combien de spécialistes hautement qualifiés œuvrent-ils dans les vaccinodromes ?

AJOUTÉ en décembre 2021 : on notera que Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, est l'épouse de Heiko von der Leyen, qui en décembre 2020 a été nommé directeur de Orgenesis, une société américaine liée à Pfizer, spécialisée dans les thérapies géniques et cellulaires. On sait qu'elle a récemment appelé tous les gouvernements européens à imposer la vaccination, piétinant ce faisant le Code de Nuremberg. Difficile de croire qu'il s'agit d'une coïncidence, n'est-ce pas ?

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#3

05 janv. 2022, 12:40

Liste des textes qu'il faudrait changer ou ignorer en vue de rendre la vaccination obligatoire :
  • Serment d'Hippocrate.
  • Code de Nuremberg (1947).
  • Déclaration de Genève de 1948.
  • Déclaration d'Helsinki de 1996, article 25.
  • Convention d'Oviedo de 1997, article 5, transposée dans le droit français par le décret n° 2012-855 du 5 juillet 2012.
  • Loi Kouchner du 4 mars 2002, article 111-4.
  • Arrêt Salvetti de 2002.
  • Article 55 de la Constitution française.
  • Code civil français, article 16-1.
  • Article R.41.27.36 du code de la santé publique.
  • Résolution 2361 du Conseil de l'Europe.
D’un point de vue légal, ce n’est pas le code de Nuremberg mais la convention d’Oviedo qui interdit d’imposer aux êtres humains l’injection de substances expérimentales, comme c'est actuellement le cas avec les pseudo-vaccins anti covid. Cette interdiction formelle est la raison pour laquelle des méthodes illégales de coercition sont utilisées. Les autorités qui en sont responsables pourront plus tard déclarer que tous les individus vaccinés l'ont été de leur propre chef, parce que rien ne leur a été imposé.

Reste à savoir si les vaccins sont toujours au stade expérimental, car Véran et l'AFP mentent éhontément à ce sujet. La vérité se trouve sur cette page de clinicaltrials.gov, où l'on peut lire, pour ce qui concerne Pfizer-BioNTech : Estimated Study Completion Date : July 30, 2023 (fin estimée des essais : 30 juillet 2023).

Quelques rappels

Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789
La Ve République a explicité son attachement à elle en la citant dans le préambule de sa Constitution, et le Conseil constitutionnel a reconnu en 1971 sa valeur constitutionnelle.
Extrait
  • Art. 5. La Loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la Société. Tout ce qui n'est pas défendu par la Loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas.
  • Art. 16. Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n'est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution.
Constitution du 24 juin 1793
Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen
Extrait
  • Article 9. - La loi doit protéger la liberté publique et individuelle contre l'oppression de ceux qui gouvernent.
  • Article 11. - Tout acte exercé contre un homme hors des cas et sans les formes que la loi détermine, est arbitraire et tyrannique ; celui contre lequel on voudrait l'exécuter par la violence a le droit de le repousser par la force.
  • Article 12. - Ceux qui solliciteraient, expédieraient, signeraient, exécuteraient ou feraient exécuter des actes arbitraires, seraient coupables, et doivent être punis.
  • Article 17. - Nul genre de travail, de culture, de commerce, ne peut être interdit à l'industrie des citoyens.
  • Article 25. - La souveraineté réside dans le peuple ; elle est une et indivisible, imprescriptible et inaliénable.
  • Article 26. - Aucune portion du peuple ne peut exercer la puissance du peuple entier ; mais chaque section du souverain assemblée doit jouir du droit d'exprimer sa volonté avec une entière liberté.
  • Article 27. - Que tout individu qui usurperait la souveraineté soit à l'instant mis à mort par les hommes libres.
  • Article 3 1. - Les délits des mandataires du peuple et de ses agents ne doivent jamais être impunis. Nul n'a le droit de se prétendre plus inviolable que les autres citoyens.
  • Article 33. - La résistance à l'oppression est la conséquence des autres Droits de l'homme.
    Article 35. - Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.

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#4

14 janv. 2022, 18:36

En 1919, le chef indien Joseph White Bull, neveu de Sitting Bull, eut une vision du futur qu'il partagea avec ses enfants et qui fut transmise de génération en génération. Voici cette prophétie :

Lorsque les dates du calendrier qui nous sont imposées seront de nouveau en position de miroir (2020) les hommes auront oublié la première grande guerre qui aura versé tant de sang. Le souvenir des horreurs qu'ils ont traversées s’effacera de leur mémoire, et les esprits s'endormiront de nouveau. Les cœurs se fermeront les uns aux autres, chacun s'isolant dans son propre univers, coupé du sens de la solidarité. Tels des loups solitaires, les humains se croiront libres d'aller où bon leur semble et d'agir à leur guise sans tenir compte des autres. Ils ne réaliseront pas à quel point, sans la protection de sa meute, un loup isolé est d'autant plus vulnérable. C'est alors que, aux quatre coins de la Terre, débutera une nouvelle guerre, la plus grande de toutes, une guerre sans fusils et sans canons, une guerre redoutable contre notre mère la Terre dans le but de la maîtriser et de contrôler tous ses soupirs, une guerre viscérale, qui exploitera toutes ses richesses et causera la disparition de nombreuses espèces, tant animales que végétales, une guerre sournoise qui anéantira le lien des hommes avec la nature et le grand cycle de vie dont ils font partie.

L'esprit endormi des hommes, coupé de son attache au grand Tout, ne verra rien venir lorsqu'il deviendra la cible de cette soif absolue de contrôle de la part des envahisseurs. L'ultime conquête sera le cerveau humain, proie de choix sur leur tableau de chasse, et ils n'auront besoin d'aucune arme pour asservir les hommes. Il leur suffira pour les réduire à néant de leur insuffler la peur. Tel un loup solitaire traqué par un chasseur sans merci, l'humain isolé de ses semblables ne trouvera aucune aide, aucun soutien, aucun répit ni aucun terrier dans lequel se réfugier lorsque débutera cette guerre de terreur et d'effroi. Il sera traqué jusque dans sa propre maison, assailli jour et nuit par des images terrifiantes. La mémoire de ses ancêtres oubliée, il craindra de sortir de chez lui. Son cœur coupé de ses lignées et endurci par des années de solitude intérieure, il en viendra à se méfier de ses voisins, de ses amis, et même de sa propre famille. Ce sera le début de la fin pour cette humanité sans âme et sans vision commune.

Seuls celles et ceux qui auront nourri le lien à la Terre, qui auront gardé leur cœur ouvert et leur esprit éveillé, sauront qu'il est temps de se lever et de quitter le confort de leur foyer pour se regrouper sur des hauts-lieux sacrés afin d'invoquer la clémence des astres, des anciens et des esprits. Celles et ceux qui prendront le temps d'élever leur âme du sang versé par leurs ancêtres, et de purifier la Terre entachée de tant de massacres, auront la possibilité de survivre à cette guerre impitoyable. Celles et ceux qui créeront des havres de paix, des communautés solidaires et unies par le cœur, sauront résister à l'épreuve du feu qui embrasera les cerveaux terrifiés par la peur. Ensemble ils s'uniront aux quatre coins de la planète. Toutes ces âmes réunies dans un même esprit d'amour absolu sauront retrouver le chemin qui mène à la paix. Ensemble ils s'uniront aux astres, aux anciens et aux esprits pour réactiver la grande roue de médecine universelle, le centre de la création éternelle, afin d'y bercer la Terre mère et tous ses habitants en faisant tomber le voile de l'oubli et en les éveillant à leur propre nature unifiée. Ce sera le début d'une ère nouvelle dans laquelle enfin tous les humains seront frères et feront un avec la nature, les animaux et les plantes.

Pour échapper à ce scénario il y a une solution : ne pas céder à la peur. Vous avez très peu de chances de mourir du covid, et d'autant moins si vous êtes en bonne santé. Le covid tue principalement des vieillards affligés de comorbidités. Alors si vous n'y êtes pas contraint(e) pour des motifs professionnels, cessez de vous faire vacciner. Comme mentionné dans un lien ci-dessus, le Pr Raoult a déclaré que ces vaccins ne luttent pas contre la maladie mais augmentent sa diffusion. Vous pouvez suivre un traitement préventif très simple. Voici ce que personnellement je prends quotidiennement : vitamine C et zinc et vitamine D (je n'ai aucun intérêt chez Onatera). C'est ce que les médecins qui n'ont pas renié leur serment préconisent.

Je pense qu'un bon nombre de Français ont maintenant compris que cette affaire de covid n'a rien à voir avec des considérations sanitaires, et ceci depuis le début. L'objectif affiché par le gouvernement est clairement de conduire un maximum de gens à se faire vacciner. Pourquoi ? Que se cache-t-il derrière cet objectif ? Qu'y a-t-il dans ces vaccins ? Tout porte à croire qu'un plan a été élaboré de longue date et que les autorités politiques et sanitaires sont actuellement occupées à le mettre en œuvre. Les historiens raconteront probablement un jour qu'il s'agissait du plus grand crime jamais perpétré contre l'humanité.

Quoi qu'il en soit, si vous ne cédez pas à la peur, si vous acceptez de vous passer temporairement de restaurant et de cinéma, alors nous sortirons victorieux de cette guerre.

Voici ce que Dolores Cannon disait de la peur.

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#5

10 févr. 2022, 12:57

Corruption, pandémie, meurtre

Le "Tribunal populaire de l'opinion publique", initié par l'avocat allemand Reiner Fuellmich, a pour ambition de servir de modèle de procédure et d'obtenir des inculpations contre certaines des figures de proue pénalement et civilement responsables de ces Crimes contre l'Humanité que constituent les diverses facettes de la fausse pandémie.

Jour 1 - Déclarations introductives
Jour 2 - L'environnement historique et géopolitique
Jour 3 - Les tests PCR
Jour 4 - Les injections
Jour 5 - La destruction financière
Jour 6 - Eugénisme et génocide

Le Jour 5 est à mon sens l'un des plus importants, car il offre un aperçu de ce qu'est l’État profond et son projet démoniaque pour le monde. Le Jour 6 est tout aussi important puisqu'il évoque les pratiques eugénistes héritées de la fin du 19ème siècle, avec leur cortège d'horreurs, qu'on retrouve à l'identique dans le traitement de la "pandémie" de covid-19.

Site officiel du Grand Jury.

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#6

08 juin 2023, 17:35

Le Dr David Martin démolit l'histoire du Covid-19 devant le Parlement européen (9 mai 2023).

Notez que "cette vidéo a été supprimée, car elle ne respectait pas le règlement de la communauté YouTube", nouvelle censure qui me conduit à me féliciter d'avoir enregistré cette vidéo sur Consyance.fr.

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#7

28 févr. 2024, 16:19

Un épidémiologiste de renommée mondiale a fait un témoignage explosif devant une table ronde du Sénat américain, affirmant que le virus Covid et les vaccins à ARNm ont été créés par "l'industrie des armes biologiques."

Harvey Risch, professeur émérite d'épidémiologie à l'université de Yale, a expliqué que la pandémie avait été conçue dans le cadre d'un plan élaboré visant à accroître le financement de la recherche sur les armes biologiques en donnant l'impression que l'industrie servait les intérêts de la santé publique.

Selon M. Risch, la fuite de Covid-19 provenant d'un laboratoire d'armes biologiques financé par le contribuable américain à Wuhan, en Chine, a fourni le prétexte parfait pour que l'industrie des armes biologiques justifie son existence en intervenant et en se faisant passer pour le sauveur de l'humanité.

Ces révélations ont été faites lors d'une table ronde organisée le 26 février 2024 par le sénateur républicain Ron Johnson (R-WI). L'événement était intitulé : "Les agences fédérales de santé et le cartel Covid : que cachent-elles ?"

Au cours de son témoignage, M. Risch a expliqué comment l'industrie des armes biologiques a exploité une faille dans le traité de 1975 relatif à la convention sur les armes biologiques. Ce traité autorisait le développement de "petites quantités d'armes biologiques offensives [...] afin de mener des recherches sur les contre-mesures vaccinales. Cette faille a ensuite été exploitée par notre industrie des armes biologiques au cours des 50 dernières années", a expliqué M. Risch. "Le traité sur les armes biologiques limitait les armes biologiques offensives aux agents permettant de développer des vaccins, ce que l'on appelle les agents à double usage ou la recherche à double usage. Et c'est ce qui a motivé les diverses demandes de subventions pour la virologie..."

M. Risch a également souligné que les vaccins commerciaux sont généralement déployés avant le début d'une pandémie, pas au milieu de celle-ci. "Mon hypothèse, ce que je crois, c'est que la dissimulation de l'origine du virus et la vaccination forcée de la planète entière ont été orchestrées pour protéger l'intégrité de l'industrie des armes biologiques", a déclaré le professeur de Yale. Risch a poursuivi en expliquant pourquoi les origines du virus devaient être dissimulées par l'industrie des armes biologiques. "Une fois que le grand public aurait compris le comportement imprudent et cavalier de cette industrie qui a opéré sous le prétexte fallacieux de développer des vaccins qui n'ont jamais été commercialisés avec succès, il aurait alors réclamé la fermeture de l'industrie", a-t-il déclaré. "Ainsi, la suppression de la connaissance de l'implication imprudente de l'industrie dans la fuite de Wuhan est une dissimulation évidente et nous avons la preuve de cette dissimulation..."

Le professeur Risch a poursuivi : "Ma conclusion est donc la suivante : la raison pour laquelle toute la population a dû être vaccinée est de montrer que l'industrie des armes biologiques avait soi-disant une raison de développer des vaccins dans le cadre de sa revendication de recherche à double usage. Les vaccins sont alors la preuve que l'industrie des armes biologiques était justifiée dès le départ. Sans un vaccin efficace à présenter en cas de crise pandémique, en particulier une pandémie causée par une fuite provenant d'une source de l'industrie des armes biologiques, il serait clair pour tout le monde que la justification de l'existence de l'industrie était une fraude dès le départ. C'est ainsi que les vaccins Covid eux-mêmes ont servi de défense contre l'accusation selon laquelle l'industrie des armes biologiques n'était pas réellement à double usage, mais uniquement offensive, violant ainsi le traité de 1975. Les vaccins devaient donc être présentés de manière spectaculaire comme la solution universelle pour montrer que l'industrie des armes biologiques travaillait en fait pour le bien public et, dans ce contexte, les dommages collatéraux causés par les vaccins n'avaient pas d'importance. Tout ce qu'il fallait était que le public pense que l'industrie a fait son travail pour produire des vaccins utilisables et non des armes biologiques offensives."

Robert Malone, inventeur de la technologie de l'ARNm, et Ed Dowd, spécialiste des données, ont également témoigné lors de cette table ronde.

Cet événement est le dernier effort en date du sénateur Johnson pour obtenir des réponses pour le peuple américain. Lui et son équipe ont enquêté sur les liens entre les injections de Covid et la multiplication des morts subites et des complications médicales majeures dans tout le pays.

Comme Slay News l'a rapporté, M. Johnson a fait pression pour révéler la vérité sur l'implication du gouvernement dans la pandémie de Covid-19 et dans le déploiement ultérieur du vaccin à ARNm. En janvier, M. Johnson a rendu publiques des données explosives du gouvernement fédéral montrant les taux de mortalité alarmants associés aux injections d'ARNm du Covid. Les chercheurs de M. Johnson ont procédé à une analyse approfondie des données du système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC).

Selon M. Johnson, les données indiquent que les injections de Covid-19 sont 55 fois plus mortelles que le vaccin antigrippal.

Traduction de cet article



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